Si vous cherchez une solution pour délimiter les espaces sans perdre le bénéfice de la lumière naturelle et sans renoncer à une décoration raffinée, vous avez tout à gagner avec la verrière d’atelier. Très tendance, elle apporte une note industrielle appréciable et elle permet de mieux différencier deux pièces sans cloisonner complètement. Mieux encore, il s’agit d’une installation modulable et évolutive, que vous pouvez adapter à vos envies au fil des années ! Voici quelques conseils pour mieux en profiter chez vous…
Adapter le choix des matériaux à son style décoratif
Quand on évoque la verrière d’atelier, on pense spontanément à une structure en acier ou en aluminium, puisqu’il s’agit de la version la plus répandue. Si vous voulez apporter une note industrielle à votre aménagement intérieur, ce style vous conviendra sans aucun doute.
Mais vous pouvez ressentir l’envie de quelque chose de plus doux et naturel. Dans ce cas, favorisez plutôt les verrières en bois. Elles ne sont pas aussi fréquentes, mais on peut en trouver ou demander à un professionnel d’en fabriquer une sur-mesure. Avec votre artisan, vous pouvez même choisir les teintes, les dimensions et les formes. Vous aurez ainsi accès à une installation spécialement imaginée pour vous, répondant à toutes vos attentes.
Envisager une verrière coulissante pour plus de modularité
Vous faites partie des personnes qui rêvent d’une verrière pour son côté modulable ? Vous êtes séduit à l’idée de pouvoir poser une sorte de cloison qui sera facile à ouvrir ou fermer complètement, selon vos besoins du moment ? Dans ce cas, la verrière d’atelier coulissante peut vous convenir.
Celle-ci occupera à la fois le rôle de cloison et de porte. Certaines versions se ferment totalement, ce qui peut être appréciable quand on cherche par exemple à séparer une cuisine d’un salon et que l’on veut éviter de sentir les odeurs se répandre.
Adapter la taille du soubassement à l’usage souhaité
Le soubassement désigne la partie inférieure de votre verrière industrielle, sur laquelle il n’y a pas de carreaux. Sa hauteur doit être bien anticipée afin de mieux cloisonner les espaces sans, pour autant, perdre en luminosité.
Par exemple, si vous souhaitez cloisonner partiellement une cuisine, vous avez tout intérêt à vous positionner sur une hauteur minimale de 95 cm, afin de se placer au-dessus des plans de travail. En revanche, pour une chambre, un soubassement de 85 cm peut se révéler largement suffisant.
Sélectionner des vitrages adaptés à ses besoins
Dans l’univers des verrières, on trouve à la fois des vitrages de petite taille et d’autres plus larges. Très concrètement, les petits vitrages impliquent la présence d’un quadrillage plus serré et plus visible. Ils donnent généralement l’impression d’un espace moins grand, mais ils délimitent efficacement deux zones distinctes.
Les grands vitrages, quant à eux, délivrent une sensation de grandeur. En revanche, ils cloisonnent moins bien les espaces, puisqu’ils contribuent à la création d’une cloison beaucoup plus transparente.
À noter qu’il existe des cloisons avec du double-vitrage pour optimiser l’isolation phonique, et même des vitres opaques que l’on peut installer dans la salle de bain pour préserver l’intimité de chacun. Afin de faire les meilleurs choix, l’idéal reste de demander les conseils de professionnels. Car même si l’installation d'une verrière demeure relativement simple, il est préférable de la confier à des artisans dont c’est le métier.